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Parcours artistique



Né à Nantes en 1939, j’ai commencé à dessiner et peindre au début des années 60, en fréquentant quelques écoles à Paris (Académie Julian, Grande Chaumière, écoles municipales).

1967- 69, séjour à New-York. Fréquentation de l’Art Student’s League (classe de Stamos) et de la School of Visual Arts. Quelques toiles à la East Hampton Gallery, en 1969.

De retour à Paris, plusieurs expositions dans les années 1970 - 90 :
- 1990, galerie Catherine Pergay, rue de Charonne (expo de groupe).
- 1989, Espace Pierre Cardin, vente au profit des enfants d'Arménie
- 1988, galerie Etienne de Causans, rue de Seine
- 1980, Salon des artistes français (sur invitation du critique Henri Héraut)
- 1978 et 1980, galerie Entremonde, rue Mazarine. Critique favorable de Jean-Marie Dunoyer en 1978 dans Le Monde

Fin des années 80, écriture d’un livre sur l’art moderne, paru en avril 1990 :

Les Modernes et les Autres. Cent ans d’art moderne dans le monde (367 pages, 450 illustrations couleur). Ce livre avait pour objectif la défense de l’art moderne, dans une période de crise et de dérives « avant-gardistes ». Quelques réactions favorables, dont celles de Michel Ragon, Pierre Daix, Yves Michaud et le peintre George Mathieu.

Changement d’orientation, au cours des années 1990-2000, au profit de l’écriture de plusieurs livres, consacrés notamment à l’histoire des visions « cosmiques », et au dossier étrange des ovnis. Dans mon livre Visions célestes. Visions cosmiques (2007), j’ai étudié notamment la présence de ces thèmes dans l’art moderne et la science-fiction.

Après cette longue période d’écriture, je suis revenu progressivement à la peinture à partir de 2010.



Article de Jean-Marie Dunoyer dans Le Monde du 17-18 septembre 1978 (extrait)

En aplats aux formes tranchantes, découpées comme des feuilles de tôle, Gildas Bourdais m’apparaît comme le peintre de la mythologie moderne, de l’ère électronicienne et nucléaire qui hante les imaginations débiles.  Ses monstres engendrés par les fusées et autres engins quittent la planète on ne sait pour quelle destination en un mécanique Envol. Un Oiseau bleu à cinq pattes, une Usine atomique, un Observatoire…  Par bonheur, Bourdais refuse « l’étiquette réductrice de la science-fiction ». Et c’est beau de couleurs et vigoureusement construit.



Je remercie spécialement mon ami peintre Olivier Cantenys qui m’a encouragé, et qui m’a accueilli dans son collectif « Le gang de la ruche », voir sur la page Liens

Je remercie également Bertrand Helleu pour son excellent travail, bénévole, de mise en page de mon site.