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Textes


Critiques (extraits d’articles) sur mon livre
Les Modernes et les Autres. Cent ans d’art moderne dans le monde
(avril 1990, Livre Total, diffusion Vilo)




Revue L’œil, juin 1990

Cet ouvrage, très accessible mais sans simplifications abusives, est remarquablement complet et équilibré, d’une part entre les styles – du plus « classique » au plus « avant-gardiste » - et d’autre part vis-à-vis des écoles nationales. L’art américain (y compris canadien), souvent négligé dans les ouvrages européens, reçoit ici sa juste place. Il en va de même de l’art soviétique et de l’art japonais. Il n’est pas exagéré de dire que cet ouvrage présente une vue d’ensemble plus éclectique de l’art moderne et contemporain que bien des livres trop centrés sur les diverses écoles avant-gardistes. Sa liberté de ton et son indépendance ne manqueront pas d’attirer l’attention.

Revue Lire, juin 1990

Tout ce qui est nouveau recueille l’adhésion de la critique. L’avant-garde serait-elle devenue un nouvel académisme ? Constatant l’actuelle confusion des valeurs, Gildas Bourdais tente de retrouver les chemins de la véritable modernité. Quels sont aujourd’hui les Cézanne, Picasso, Matisse, Kandinsky (ici, son « Cavalier », 1911) ?

Tribune des Arts (Genève), juin 1990

Un ouvrage qui vient de paraître sous la signature de Gildas Bourdais, essaie de faire le point intelligemment en contribuant à l’évaluation des années récentes et en dénonçant l’académisme à rebours auquel est parvenu un certain avant-gardisme, afin d’offrir au lecteur une vue d’ensemble de l’art moderne. Vue bien évidemment subjective. Afin de le convaincre surtout de ne pas tout rejeter sans discrimination.

Le Quotidien du médecin, mai 1990

Cet ouvrage propose une vision nouvelle sur toute la période qui va de l’impressionnisme aux années quatre-vingt, dans une double optique : en dénonçant l’académisme international qu’est devenu l’avant-gardisme et en offrant une vue d’ensemble intelligible de l’art moderne, fondée sur les seuls choix de qualité. Gildas Bourdais, qui est lui-même peintre, a conçu cet album pour un public d’amateurs, mais non spécialisé, d’où la très grande clarté du découpage en 6 parties et 28 chapitres en continuité historique, et de la mise en page.

Fémina (Lausanne), 17 juin 1990

Pour une fois, l’art américain (y compris canadien) souvent négligé dans les ouvrages européens, trouve ici sa juste place. C’est qu’en connaisseur averti l’auteur fait preuve d’un non-conformisme assez rare dans ce domaine, ce qui explique sans doute l’indépendance de son ouvrage vis-à-vis du regard souvent péremptoire du monde artistique français.


New Art, juin-juillet 1990

Esprit indépendant, l’auteur n’est pas l’homme du Tout dans l’art, encore moins du n’importe quoi de l’art. En un mot comme en cent, pour reprendre Guy Scarpetta : « La vraie ligne de démarcation ne passe pas entre la modernité et la postmodernité »… mais entre « ce qui est de l’art et ce qui n’en est pas ! » Une problématique essentielle que soulève ce livre sans prétendre la résoudre pour autant. D’ailleurs ne dit-il pas lui même que sa conclusion ne vient « qu’en guise de conclusion provisoire »… (Maïté Roux)